II – CONSULTATION DU 27 JUIN :
Actuellement,
cette zone est classée « zone d’activités » :
cela signifie qu’elle peut accueillir non seulement des commerces, mais aussi
des entreprises industrielles ou artisanales.
Cette zone, si un projet voit le jour,
pourrait être gérée par
La
question de la consultation « Etes-vous favorable oui ou non au projet d’implantation d’une
zone commerciale sur le site du Charmoy » ne vous dit pas tout et est
trompeuse.
Pour
ce qui est de cette zone commerciale, les commissions tant régionales (commission
d’aménagement commercial) que nationales n’ont pas donné leur autorisation
puisque le projet ne répondait pas aux diverses exigences sociétales et
commerciales ou concernant le développement durable, les transports collectifs,
le commerce local, le respect des terres agricoles.
La
question que nous nous posons aujourd’hui est de savoir pourquoi dépenser
autant d’euros à organiser une telle consultation alors que le résultat n’aura
aucune valeur légale si un nouveau projet commercial est déposé en commission
départementale !
Par ailleurs, si le « non »
l’emportait dimanche, pourquoi brandir le chantage d’une reclassification de la
zone en « terres agricoles » puisque cette zone peut accueillir des
entreprises ?
Banderoles,
organisation, mise à disposition du personnel, bulletins, enveloppes, tout cela
à un coût que Monsieur le Maire se garde bien de nous communiquer.
Que dire de l’affichage sauvage, des tracts trompeurs distribués allégrement par des adjoints ?
Pourquoi une consultation uniquement
sur AUXONNE ; alors qu’une grande surface impacterait tout le canton voire
au-delà !
Décider
pour les autres, est-ce vraiment démocratique ?
Aujourd’hui
vivre ensemble, c’est partager nos richesses, nos actifs, nos idées, notre
futur.
En
résumé, beaucoup de temps, d’argent dépensé pour rien, si ce n’est satisfaire
les égos de certains.
Il est dommage de diviser la population et de n’avoir aucun projet commun pour le bien de tous. Que de temps perdu et le temps c’est de l’argent : vos impôts en l’occurrence.